Pérennité du contenu

2023-02-18

En continuant de réfléchir à la difficulté de gérer le contenu que je produis et de relier les informations[1], je suis de nouveau tombé sur la question de contenu « Evergreen ». Comme je le comprends, celui-ci table sur l’atomicité du contenu de sorte à ce que chaque nouvel ajout soit immuable dans letemps. Ce n’est pas ce que je recherche. Aussi simple qu’elle est, toute chose peut être amenée à changer, et il est au mieux naïf de croire pouvoir en énoncer des généralités – Bien que l’aspect scientifique de l’approche soit louable.

Durée de vie du contenu

La question de pérennité du contenu implique le concept de « LinkRot ». Pire encore que la remarque de la tâche sur les habits, celle d’un lien mort. L’expression peut porter à l’erreur puisque ce n’est pas tant le lien que le contenu qui se dégrade. Internet et le réseau web reposent sur l’échange de liens, d’adresses de contenus, mais il est idéaliste que de croire que tout contenu y est permanent. Avoir le contrôle sur ses données est d’ailleurs la raison principale qui pousse à l’auto-hébergement[2], se dégageant des aléas de la gestion d’un serveur par un tier – pour au final en récupérer la charge.

Références

[1] Gestion de l’information, LeJun 2023